• Appel à bénévoles

    Le Secours populaire de Noisiel a besoin de vous !
     
    Vous souhaitez :
     
    • Accueillir et aider les personnes en difficultés ;
    • Participer à la réalisation d’activités de solidarité (permanence d’accueil, accompagnement scolaire, aide à l’apprentissage du français, actions culturelles, collectes, paquets cadeaux…) ;
    • Aider à l’administration et à la gestion de l’association.
    Apporter son aide peut se faire de multiples façons : chacun peut trouver une formule qui lui convient selon sa disponibilité, ses centres d’intérêt, ses compétences.
     
    Venez rejoindre l’équipe de bénévoles du Comité de NOISIEL.
     
    Comité du Secours Populaire de Noisiel
    Tél 01 64 62 00 80
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  • Notre histoire

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    15 novembre 1945

    Création du Secours populaire français. La libération de la France marque le renouveau des activités de solidarité. Le SPF se donne pour objet de réunir toutes les personnes de bonne volonté et de toutes les opinions politiques, philosophiques ou religieuses au service d’un objectif : pratiquer la solidarité.

    1957

    Le Secours populaire est soutenu par d’illustres artistes dont Jean Cocteau, qui signe le premier dessin en soutien à l’association.

    1961

    Création de la carte de ”collecteur” reconnaissant officiellement le statut de l’implication bénévole au sein du SPF.

    1963

    Premiers départs d’enfants en vacances dans des familles, aux Pays-Bas.

    1970

    A l’initiative du Secours populaire les premiers surplus alimentaires sont soustraits à la destruction et contribuent à l’aide alimentaire des familles soutenues en France.

    1971

    Fort de son expérience à l’étranger (Vietnam, Biafra, Algérie, Madagascar), le SPF décide d’intensifier son aide dans les régions de ce qu’on appelle déjà le “Tiers-Monde”. Cela se traduira, en 1977, par le lancement de la première campagne annuelle pour la solidarité internationale, avec un triple objectif “Nourrir, soigner, instruire”.

    1973

    Premières vacances organisées pour les personnes âgées.

    1976

    Création des Pères Noël verts pour apporter au plus grand nombre cadeaux et moments festifs, lors des fêtes de fin d’année.

    1977

    Le Secours populaire décide de décentraliser son activité en multipliant les comités et les antennes, partout sur le territoire national.

    1979

    Première Journée des oubliés des vacances (JOV).

    1980

    Création des Médecins du Secours populaire français, en France et à l’étranger.

    1983

    Le Secours populaire conduit des activités de solidarité partout en France. La qualité de ses actions lui vaut d’être agréé « d’éducation populaire ».

    1985

    40 ans après sa création, le Secours populaire français obtient la reconnaissance d’utilité publique.

    1987

    Le Secours populaire devient, avec trois autres organisations, l’une des premières associations de distribution du Programme européen d’aide aux plus démunis grâce auquel les stocks de surplus agricoles européens permettent l’approvisionnement en denrées de l’aide alimentaire aux personnes en situation de précarité.

    1989

    Les Etats généraux de la solidarité lancent les “Nouveaux Cahiers de doléances” pour donner la parole aux plus démunis. Le Secours populaire joue un rôle très actif dans la création du Comité de la Charte, organe de contrôle des associations faisant appel à la générosité du public. Le Secours populaire montre ainsi sa volonté de promouvoir la transparence vis-à- vis de ses donateurs.

    1990

    Grande Journée des oubliés des vacances au pied de la Grande Arche de la Défense qui devient pour une journée « L’arche de la Fraternité ». Avec la Fondation de France et des associations européennes, le Secours populaire fonde ESAN, réseau européen d’action sociale.

    1991

    Le Secours populaire obtient le label Grande Cause nationale.

    1992

    Création de “copain du Monde”, mouvement des enfants acteurs et auteurs de la solidarité, qui contribue à donner à l’enfant sa place dans notre société, en faisant de lui un citoyen à part entière, informé de ses droits et conscient de ses devoirs. L’action des copains du monde permet de conduire nombre de projets de solidarité.

    1994

    Les premiers « Libres Services de la Solidarité » sont créés pour permettre aux personnes soutenues sur le plan alimentaire de choisir elles-mêmes leurs denrées.

    1999

    Les Cahiers de doléances se diffusent partout en France comme les “Cahiers de l’espoir”. La démarche « Le Dire pour Agir » se formalise et va connaître un essor important, avec la création de pièces de théâtre, dès l’année suivante, pour mettre en scène les mots de la souffrance et de l’espoir.

    2000

    Le Secours populaire est agréé “Association éducative complémentaire de l’enseignement public”. Cet agrément prouve la place importante occupé par l’association dans la société française. Cette même année, le Secours populaire organise ”Soleils 2000”, une grande Journée des oubliés des vacances, comme un point de rencontre des enfants du monde entier, au Stade de France, en Seine-Saint-Denis.

    2003

    Fort des initiatives “La culture, ça change la vie”, lancées en 1997, le Secours populaire fait de l’accès à la culture pour tous l’une de ses priorités, lors de son congrès national, à Agen.

    2004-2005

    Le Secours populaire lance un grand appel à la générosité pour les victimes du tsunami en Asie du Sud-Est, qui se concrétisera avec de nombreux projets de solidarité en soutien aux victimes de cette catastrophe.

    2005

    Le Secours populaire français organise à nouveau une grande Journée des oubliés des vacances au Stade de France, avec des enfants du monde entier. Une démarche qui s’inscrit dans sa volonté de ”mondialiser la solidarité”, mot d’ordre de son congrès national.

    2010

    Le Secours populaire français se positionne comme un acteur majeur de l’Année européenne de lutte contre la pauvreté et l’exclusion avec “Soleils d’Europe”, qui permet à 40 000 enfants, français et européens, de se retrouver au pied de la Tour Eiffel pour une grande journée de fête, de partage et de solidarité. En octobre, la parution du Livre porte-voix de la pauvreté, fruit de la démarche Le Dire pour Agir, permet de donner à lire les saisissants témoignages de personnes accompagnées par le Secours populaire.

    2011

    Le Secours populaire organise les Assises nationales de la jeunesse solidaires à Vandœuvre-lès-Nancy, pour renforcer la solidarité avec et pour les jeunes.

    2012

    En cette année de Jeux olympiques, le SPF mène tambour battant, durant toute l’année, les “Olympiades de la solidarité” : face à une précarité croissante, les 80 000 bénévoles se surpassent, notamment dans le domaine de l’accès au sport.

    2013

    En novembre, le Secours populaire organise son 34e Congrès « La solidarité en mouvement », à Clermont-Ferrand : une réflexion collective sur l’organisation de l’association et son développement, au service d’une solidarité toujours plus forte. Tout au long de l’année 2013, le Secours populaire a défendu le principe d’une aide alimentaire européenne qui reste à la hauteur des besoins des personnes confrontées à la pauvreté : une bataille de longue haleine menée sur trois ans, qui a conduit à une victoire : le 31 décembre 2013, le Fonds européen aux plus démunis (FEAD) était créé pour la période 2014-2020, en remplacement du PEA.

  • Devenir bénévole au SPF

    Véritable pivot du SPF, les animateurs-collecteurs s’impliquent bénévolement pour pratiquer la solidarité sous toutes ses formes, tout en faisant vivre le projet de l’association, en participant à sa vie démocratique.

    80 000 bénévoles  mobilisés pour apporter réconfort aux personnes en détresse

    Par leur engagement, les bénévoles du Secours populaire mettent en pratique une solidarité sans exclusivité,  sans esprit partisan, sans frontières.

    Ils  initient des collectes financières et matérielles, organisent de multiples initiatives  au sein de comités locaux ou d’antennes, participent activement à l’accueil des personnes en difficulté,  les accompagnent, les orientent, les aident à accéder à la citoyenneté.

    Le Secours populaire, un mouvement au cœur duquel agissent des animateurs-collecteurs engagés

    Si les bénévoles donnent de leur temps pour faire grandir la solidarité en accompagnant et accueillant les personnes, en organisant des évènements, en collectant, en recevant des enfants en vacances, en dirigeant, en gérant, en réalisant des bilans… ils sont également des acteurs actifs de ce mouvement, disposant d’un droit de vote pour élire leurs représentants ou choisir eux-mêmes de représenter l’association. Ceux-ci construisent chaque jour les orientations et la politique financière de l’association.

    Le partage des valeurs du mouvement, la maîtrise du fonctionnement associatif sont indispensables. Ainsi les bénévoles peuvent suivre les formations dispensées par l’Institut de formation du Secours populaire, avec au cœur les valeurs de solidarité et d’humanisme portées par l’association.

    Les possibilités de bénévolat

    Des interventions ponctuelles liées à l’actualité : initiatives de collectes, confection de paquets cadeaux dans les périodes de fêtes, actions de solidarité comme la Journée des oubliés des vacances, collecte de denrées alimentaires…

    Du bénévolat en lien avec l’ensemble de nos activités

    En France, le Secours populaire est particulièrement attentif aux problèmes d’exclusion : sur le court terme, par une solidarité d’urgence basée sur l’alimentaire, le vestimentaire. L’orientation vers un hébergement d’urgence ou  une structure de soins restent aussi au cœur des préoccupations des amis œuvrant au sein des permanences d’accueil et de solidarité.

    Le SPF accompagne également sur la durée, les personnes et familles dans leurs démarches et pour l’obtention de leurs droits : accès au logement, à la santé, aux vacances, à la culture et aux loisirs, au sport, à l’insertion professionnelle. Urgence ou non, le respect de la dignité des personnes aidées est primordial pour l’association.

    Sur l’ensemble des continents, qu’il s’agisse d’urgence, de projets de réhabilitation ou de projets de développement, le Secours populaire travaille étroitement avec des associations locales capables d’identifier les besoins des populations.

    Du bénévolat de compétences

    Concerne des missions bien spécifiques mises au service de la solidarité, liées par exemple à l’action internationale, aux partenariats avec les entreprises, à la communication, à la gestion, à la mise en mouvement d’enfants pour la solidarité dans le cadre de Copain du Monde…

    Devenir bénévole

    Vous aussi, vous souhaitez donner du temps, partager vos compétences ? Vous voulez rejoindre les 80.000 bénévoles du Secours populaire ? Contactez-nous !

    Avec ses 80.000 bénévoles, le Secours populaire est l’une des associations qui s’appuient le plus fortement sur la bonne volonté et le dévouement des gens de cœur. Apporter son aide peut se faire de multiples façons : chacun peut trouver une formule qui lui convient selon sa disponibilité, ses centres d’intérêt, ses compétences.

     

  • Nos valeurs

    Grâce à des personnes de tous les milieux, de tous âges et de toutes convictions, à la richesse de leur diversité, le Secours populaire français a pris une place originale parmi les associations de solidarité.

    Œuvrer en toute indépendance

    Grâce à des personnes de tous les milieux, de tous âges et de toutes convictions, à la richesse de leur diversité, le Secours populaire français a pris une place originale parmi les associations de solidarité.

    Il rassemble « des personnes de bonne volonté, enfants, jeunes et adultes, de toutes conditions, quelles que soient leurs opinions politiques, philosophiques ou religieuses, en veillant à développer avec elles la solidarité et toutes les qualités humaines qui y sont liées »
    article 1er de ses statuts

    Protéger sa liberté d’intervention implique de s’en donner les moyens. De nombreuses initiatives permettent de collecter ses fonds propres auprès de particuliers. Des partenaires publics et privés, fondations, collectivités locales et territoriales soutiennent divers projets.

    Se démener pour permettre l’accès aux droits fondamentaux

    Tout commence lorsqu’une personne ose pousser la porte du Secours populaire. L’entretien dans la permanence d’accueil permet de cerner ses besoins, de chercher avec elle les solutions face à la situation de détresse qu’elle traverse.

    Cela concerne tous les besoins : bien sûr une alimentation suffisante et diversifiée, des aides pour des impayés (factures énergétiques…), mais aussi l’accès à un logement, au système de santé, au travail, à l’éducation, au sport, à la culture, aux vacances, le soutien pour effectuer des démarches administratives ou  juridiques…
    L’esprit de la déclaration universelle des droits de l’homme prime :

    Toute personne, en tant que membre de la société, […] est fondée à obtenir la satisfaction des droits économiques, sociaux et culturels indispensables à sa dignité et au libre développement de sa personnalité.

    Une relation d’égal à égal

    Il y a des situations particulièrement dramatiques, des « accidents de la vie » qui réclament une action de toute urgence. Il y a  aussi des démarches, des projets qui demandent un accompagnement dans la durée. Le Secours populaire cherche dans chaque cas à répondre au mieux aux divers besoins et attentes exprimés.
    Il reste cependant absolument convaincu qu’une aide matérielle, indispensable, n’est pas suffisante pour remonter la pente, reprendre confiance en soi et retrouver sa place dans la société.

    C’est pourquoi il s’attache à effacer cette barrière qui pourrait séparer celui qui reçoit de celui qui soutient. Il s’agit d’établir une relation humaine, chaleureuse, qui privilégie l’écoute, le contact et invite à prendre part à l’action collective, menée au coude au coude.

    Les bénévoles et les personnes en difficulté sont la force vive

    Les personnes accueillies ne sont pas des assistés, mais des partenaires !

    L’idée souvent répandue vise à faire croire à ceux qui subissent  la pauvreté qu’ils ne sont rien.

    S’en sortir, c’est aussi, surtout, retrouver l’estime de soi. Rompre son isolement, être acteur de sa propre vie, agir avec les autres et apporter son élan de solidarité.
    La diversité est une richesse. Pour cela, chacun a son rôle à jouer : il peut, tel qu’il est, mettre son potentiel au service de l’accueil, d’initiatives qui lui conviennent… Avec cette dynamique, quand les personnes aidées arrivent à construire les projets qui les intéressent, l’éducation populaire est en marche.

    Un logo qui incarne l’éthique du Secours populaire

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    La main ailée identifie le Secours populaire français. Elle prête main-forte à celui, celle, qui perd l’équilibre sous les assauts répétés de la pauvreté. Elle invite à se rejoindre dans une pratique solidaire en mouvement.
    Une main ouverte qui symbolise la confiance et la réciprocité.

    Servir au mieux la solidarité

    Les valeurs qui déterminent les missions et le fonctionnement de l’organisation du Secours populaire, pour servir au mieux la solidarité.

    • Respect de la dignité de chacun(e), sans préjugés
    • Refus d’accepter la pauvreté, la précarité et l’exclusion comme une fatalité
    • Conception d’une solidarité partenaire, opposée à l’assistanat
    • L’éducation populaire, qui permet de se reconstruire
    • L’ouverture au monde au côté d’associations ancrées localement

    Interpeller les pouvoirs publics

    Des milliers de personnes, à travers la démarche « le dire pour agir »,  dépeignent au Secours populaire leur quotidien, fait de débrouille et de privations. Elles témoignent du courage qu’il faut pour survivre, confient leurs espoirs pour que les enfants connaissent une vie meilleure mais aussi leur besoin de partage, de respect et de beauté.

    Forte de cette connaissance très concrète, l’association, en avocat des pauvres, dénonce à leur côté l’exclusion, les souffrances induites par la précarité, les inégalités. Pour que se construise une société plus humaine.

    Elle ne cherche pas à se substituer aux devoirs de solidarité des pouvoirs publics, c’est pourquoi elle les interpelle face à la gravité de la situation, au niveau local comme national. Avec la démarche « Le dire pour agir », elle porte la parole des personnes démunies dans les  instances de concertation des pouvoirs publics, des institutions françaises et européennes.